Depuis la fin de l’été, nous nous sommes mis au géocaching. Il s’agit de trouver, grâce à des coordonnées GPS et des indices, des caches dissimulées un peu partout, en ville ou dans la nature.
Quand on a trouvé la cache, on laisse son pseudo et la date du jour dans le logbook, comme preuve de son passage. On signale aussi qu’on l’a trouvée sur le site Geocaching (une vérification sera faite en comparant les deux données, par le propriétaire de la cache).
Il existe des caches avec des objets à l’intérieur, mais comme nous sommes en milieu urbain, nous trouvons essentiellement des caches de petite, voire très petite taille !
Pourquoi faire du géocaching ? Avant tout, c’est un jeu. On se met dans l’esprit d’une chasse au trésor, même si le trésor est plus dans la chasse qu’autre chose. On apprend à s’orienter avec un GPS et une carte dans différents environnements. On déchiffre les indices et on s’amuse à les interpréter.
On cherche en fonction de tout cela, sachant qu’il faut être discret pour éviter que des passants, n’ayant pas compris ce que nous faisions, prennent à leur tour la cache après notre départ, mais ne la remettent pas en place pour les suivants. Parfois, en pleine ville, trouver une cache discrètement est une gageure ! Il y a le plaisir de trouver, même si ce n’est pas toujours le cas, mais dans ce cas nous n’abandonnons pas, nous revenons et trouvons parfois la fois suivante. On laisse alors notre preuve de passage et on remet la cache en place, toujours dans la discrétion.
Et puis, ce sont des occasions de faire des balades et, parfois, de découvrir des endroits intéressants que nous n’avions jamais repérés. C’est ainsi que nous avons pu admirer des fresques, des mosaïques, et même un polissoir du Néolithique…