Sketchnote ci-dessus de Luigi Mengato
Après avoir démarré le sketchnoting il y a quelques années, avec des livres (Initiation au sketchnote, Le guide avancé du sketchnote ou encore Positive sketching), j’ai pris l’habitude de prendre des notes plus visuelles, plus synthétiques et imagées. Voir ici pour l’article dont est tiré la note ci-dessous.
Avec son école Clonlara, mon 14 ans s’est également lancé dans le sketchnoting grâce à un club pour les élèves et nous avons donc pu nous mettre à la pratique en famille. On peut utiliser cette méthode de prise de notes dans n’importe quel contexte : il s’agit d’organiser ses notes d’une manière créative sur la page et d’éviter les longs pavés de texte pour les remplacer par des mots-clés et des icônes, le tout organisé avec des titres, des cadres, des flèches…
Pour s’entraîner, il peut être utile, surtout si on n’est pas particulièrement habile en dessin, de reprendre des exemples concrets, dans des livres, une formation, ou sur internet. On se crée ainsi, petit à petit, sa bibliothèque graphique à laquelle se référer et qu’on va progressivement intégrer, mais qui reste toujours évolutive.
Ensuite, rien ne vaut la pratique ! On peut prendre des notes dans une conférence, préparer une fiche de révision, organiser son emploi du temps, garder des traces d’une lecture… tout est possible !