Un très beau roman sur le commerce triangulaire

Alma, Le vent se lève, extrait
Alma, Le vent se lève, couverture

Alma, Le vent se lève

de Timothée de Fombelle

illustré par François Place

chez Gallimard

paru en 2020

dans la collection Grand format littérature

15,5 x 22,5 cm, couverture souple, 400 pages

recommandé par l’éditeur à partir de 11 ans

Description :

Voici le livre I de la nouvelle série de Timothée de Fombelle, l’auteur à qui l’on doit Tobie Lolness, ou encore Victoria rêve.

Nous sommes en 1786. La famille d’Alma vit complètement isolée dans une luxuriante vallée, où elle garde un secret : la présence d’un cheval blanc qu’elle tente de domestiquer. Quand Lam, son petit frère, disparaît, elle s’enfuit aussi pour le retrouver.

Loin de là, Joseph s’arrange pour partir avec l’équipage d’un navire négrier. Il a aussi un secret : il est à la recherche d’un trésor.

Alma, Le vent se lève, extrait

Notre avis :

Les deux récits s’entrecroisent, avant de se retrouver, tandis que le lecteur s’attache aux personnages et attend avec impatience de connaître, tour à tour, la suite des événements pour chacun.

Nous apprécions la plume de l’auteur, qui parvient à nous faire voyager à travers le temps et l’espace, par son évocation précise de l’univers du roman. C’est rythmé et ambitieux. Le poids de ce très gros volume n’est pas une seconde décourageant pour mes fans de lecture !

D’un point de vue historique, l’Afrique au XVIIIe siècle offre une thématique intéressante : une époque sombre à la fois délicate à traiter mais méritant d’être mieux connue.

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